Créé en 2010 à Saint Denis l’association a pour but de promouvoir les cultures urbaines dans les quartiers populaires.
Leurs activités naviguent entre le graffiti, le design, l’architecture et le graphisme.
Construction, déconstruction et provocation sont des thématiques récurrentes de leurs productions. Ils élaborent une vaste entreprise d’entrelacement des techniques et des pratiques artistiques, incarnée par leur devise :
De la typographie aux logos en passant par le graffiti, CDB navigue entre travaux personnels et commandes sans perdre leur idéologie.
Par notre structure, nous mettons en place des actions (clips vidéos, documentaires expositions, magazines, atelier graffiti...) et d’évènements (concert, spectacles de danse, repas-débats...) pour présenter et proposer une définition de ce qu’est le HIP HOP, à nos yeux.
Notre but est de montrer un angle de présentation particulière en choisissant notamment l’art graphique comme une forme d’expression artistique à part entière.
Créer une plate forme locale d’expression et d’information pour permettre des échanges et chercher à éveiller les esprits trop sectaires. Constituer une identité vis à vis des cultures urbaines et offrir au public une réflexion sur l’art en milieu urbain.
NOS MISSIONS
Créer des espaces artistiques, de manifestations culturelles, l’élaboration ou le soutien dans l’organisation d’événements socioculturels éducatifs et sportifs et promouvoir les cultures urbaines, le cinéma et les arts.
Favoriser l’accès à la culture pour le plus grand nombre par le développement de formation, d’actions ou d’activités de proximité et fédérer l’action artistique et culturelle des villes de banlieue.
Aujourd’hui programmateur associé au sein de Mains d’œuvres à Saint Ouen, c’est la suite logique de notre projet initial.
Proposer des open mics avec showcases comme à l’époque du BATOFAR avec les événements END OF THE WEAK , des concepts de BLOCK PARTY où le public est acteur de sa soirée avec dj set et surtout programmer des artistes émergentes ou valeurs sûres de la scène rap ou de la trap music.
Le 9-3 a perdu ses soirées d’antan qui ont fait l’âge d’or du rap français il est donc normal que l on veuille à notre niveau rendre ce que le Hip Hop nous a donné.
Et comme dirait Kfear de LA BRIGADE : « Passons du dire au faire »
