PARCOURS NORD

Arts visuels/ Hors et dans les murs
Balade insolite en bus de 4 expositions du Réseau Nord : du Bal à Clichy, vous passerez à Mains d’Œuvres, le Château de Saint-Ouen et la Galerie Edouard Manet à Gennevilliers. Ouvrez grand les yeux !!
Parcours réalisé dans le cadre de Traversée d’art

Samedi 12 mai 2012


Parcours gratuit.
Sur réservation. Par email resa@mainsdoeuvres.org ou par téléphone au 01 40 11 25 25

Le rendez-vous est fixé à 14h au BAL
6, Impasse de la Défense 75018 – Paris (métro Place de Clichy)

Au Bal CHRIS KILLIP
LES ANNÉES THATCHER
What happened, Great-Britain 1970-1990
LE BAL inaugure une saison britannique avec une exposition consacrée à une grande figure de la photographie Chris Killip.
Photographe majeur de la scène britannique, Chris Killip a ouvert, dès le début des années 70, de nouvelles perspectives à la photographie documentaire.
Exposition présentée en collaboration avec le Museum Folkwang (Essen - Allemagne).

À Mains d’Œuvres Jean-Luc Blanc et Michel Blazy Les 2 artistes partagent le même atelier depuis une quinzaine d’années à l’Ile-Saint-Denis. Invités par Mains d’Œuvres pour réaliser une exposition ensemble, ils ont choisi d’associer leurs voisins d’atelier : Florian Bézu, Mimosa Echard, Djamel Kokene, Jonathan Martin, Florence Paradeis, Grégory Petitjean, Frieda Schumann, Maria Tomé. À l’image de leur mode de travail : une exposition collective, sensorielle et acidulée.

Au château de Saint-Ouen
SPEAKERS Installations sonores et vidéo de Cécile LE TALEC
Cécile LE TALEC, développe depuis de nombreuses années une démarche artistique originale autour des questions relatives à la perception de l’espace dans sa dimension sonore (linguistique et musicale). Elle travaille autour des thèmes du son, de la voix et des langues au travers de vidéos, photographies, sculptures et installations sonores.
À la galerie Edouard-Manet
DERELICT- Farah Atassi - Stéphanie Cherpin
L’exposition "DERELICT" à la galerie Edouard-Manet réunit dans un face-à-face inédit et stimulant deux jeunes artistes, Farah Atassi et Stéphanie Cherpin. Si leurs pratiques s’inscrivent dans des champs distincts – la peinture et la sculpture -, toutes deux sont mues par un intérêt commun pour les ruines d’une certaine modernité. Ce dialogue - plus qu’une confrontation - tient avant tout de la volonté de faire surgir des affinités plastiques et thématiques et, plus largement, d’indexer un ensemble de préoccupations qui traversent les œuvres d’une jeune génération d’artistes dont elles sont représentatives.