Mains d'Œuvres

Nate Page

Ann — 2013-04-10T08:44:55Z

Nate Page(artiste USA) a décalé la devanture du machine project, pour une installation à Cleveland il a créé des gradins à partir de canapés abandonnés et a reconçu la cour du LA county museum en utlisant uniquement des tapis et des meubles d'archivage. Nate est accueilli par Cecile Bourne Farrell et Akatre dans le cadre du programme Los Angeles Chez Vous. Il est accompagné dans sa résidence par Mains d'Œuvres et plus particulièrement par Chelsea Zeffiro.

English Version

La pratique de Nate Page(artiste USA) s'articule autour de la conception d'environnements nouveaux, il questionne la perception de l'espace et des représentations archétypales. Page a conçu de nombreux projets avec Machine Project à Los Angeles tel que "A Field Guide to LACMA," mais aussi à Los Angeles au County Museum of Art.Il a exposé à l'échelle nationale et à l'étranger notamment a la Woodbury University Gallery à Hollywood, à l'Institut d'Arts Visuels à l'Univer- sité de Wisconsin-Milwaukee et à l'Otis College of Art and Design à Los Angeles.

The Los Angeles Times
The Armory Center for the Arts

Luke Fischbeck

Ann — 2013-04-10T08:37:51Z

Luke Fischbeck est accueilli par Anne-Lou Vicente et Dominique Blais dans le cadre du programme Los Angeles Chez Vous.

Il a crée le groupe Lucky Dragons en collaboration avec Sarah Rara. Luke est accompagné par Mains d'Œuvres et plus particulièrement par Ana Iwataki.

English version.

Lucky Dragons est une collaboration entre les artistes Sarah Rara et Luke Fischbeck, tous deux de Los Angeles. Actifs en tant que groupe depuis 2000, ils sont connus pour leur approche participative de la composition musicale. Ils proposent des spectacles radicalement inclusifs et ludiques. L'outil numérique fait partie integrante de leur travail. Fischbeck et Rara ont présenté ce travail collaboratif dans une grande variété de contextes, tels que le Whitney Museum of American Art (dans le cadre de la Whitney Biennale 2008), le Centre Georges Pompidou, le Walker Art Center de Minneapolis, l'Institute de Londres pour l'art contemporain, la cuisine, et PS1 à New York, REDCAT et LACMA de Los Angeles, MOCA de Los Angeles, la 54e Biennale de Venise, et le Smithsoniannian Museum and Sculpture Garden Hirshorn, entre autres. Le groupe "Lucky Dragons » est nommé à partir d'un bateau de pêche qui a été pris dans les retombées de H dues aux essais de bombe dans le milieu des années 1950, un incident qui a suscité un tollé international et a donné naissance au mouvement mondial anti-nucléaire.

Wired
Sound and Music
Spin

the experimental meditation center of los angeles

Ann — 2013-04-10T08:28:34Z

the experimental meditation center of los angeles, en français, le centre de méditation expérimentale de Los Angeles a conduit depuis de nombreuses années le public du Machine Project à Los Angeles à diverses expériences à la fois dérangeantes et délicieuses, impliquant la danse avec des étrangers (avec microphones), les pleurs de groupe (avec des microphones de contact), massages d'avant-garde (sans micros de contact) et méditations de toutes sortes (avec harmonicas).

English Version

Adam était l'hôte de Dominique Gilliot à Los Angeles durant la prèmiere partie, Paris At Your Home !
Ils sont accueillis par Javier Toscano et Chloé Fricout dans le cadre du projet Los Angeles Chez Vous.

the experimental meditation center of los angeles est un cadre [de travail], un cercle magique, un espace sûr, une zone autonome temporaire, une salle de spectacle, ... permettant de faciliter les pistes de méditation de l'artiste. lthe experimental meditation center of los angeles se réjouit de visiter Paris. Les services seront conduits par nos missionnaires, Sarah Williams et Adam Overton, sous la direction de Guru Rugu. Sarah Williams est à la fois artiste et organisatrice d'événements. Elle se concentre actuellement sur des projets de collaboration autour de livres d'art et de tartes. Adam Overton travaille entre la performance, l'écriture, la musique expérimentale, le massage, atelier / Self-Help / culture DIY, la production d'événements et de divers moyens de participation. Guru Rugu est un célèbre écrivain de best seller auto-édité, de Los Angeles qui a changé la vie de millions de personnes par ses méditations expérimentales simples mais efficaces. Il a aidé à co-fonder le centre de méditation expérimentale de los angeles avec Adam Overton en 1971, et accueille aujourd'hui les méditations experimentales du Guru Rugu sur la radio KCHUNG, enregistrées depuis Chinatown à Los Angeles.

Walker Art Blog Art Los Angeles Contemporary sur Adam Overton et Dominique Gilliot
Sundial
The LA Weekly

Emily Lacy

Ann — 2013-04-10T08:01:00Z

Emily Lacy est une artiste sonore américaine. Elle a joué dans un bureau de dentiste, pour des enfants de 11 ans, dans une Honda Accord 1993, à la plage mais aussi à l'intérieur, devant, derrière, au dessous, au dessus de Machine Project. Emily est accueillie par Stéphanie Cottin dans le cadre de l'exposition Los Angeles Chez Vous. Elle est accompagnée dans sa résidence par Mains d'Œuvres et plus particulièrement parLaurence Hochin
English Version

Emily Lacy est une artiste sonore mêlant les genres folk et électronique, elle produit autant d'œuvres musicales, cinématographiques associés à encore d'autres médias. Elle a joué dans des expositions à PS1 MOMA, au Whitney Museum of American Art, au Hammer Museum, au Walker Art Center, et au LACMA. Emily Lacy a aussi joué dans divers espaces de DIY tout autour des États-Unis. Elle travaille en étroite collaboration avec Machine Project à Los Angeles.

The Los Angeles Times, 1
The Los Angeles Times, 2
Unionsity
The LA Weekly

Voir des extraits de la performance produite pour Paris

"Everywhere Magic" est un petit parcours musical qui se tient en exterieur, dans le paysage parisien. Le son et le chant vienne de Lucy, une jeune artiste qui expérimente la chute. Dans une séries de chapitres, explorant les mythes de la vie artistique, et Paris comme destination d'opportunité et de succé, Lucy demande quelle marque laissons nous au monde.

La taille de public est limitée à 15 et RSVP est nécessaire. La promenade musicale va traverser des espaces publics et ne pas durer plus de 1 heure.

Dawn Kasper

Ann — 2013-04-10T07:45:13Z

Dawn Kasper a développé ce qu'elle appelle son atelier nomade d'expérimentation : invitée à participer à une exposition elle utilise l'espace du musée ou de la galerie comme atelier.

Dawn Kasper est accueillie par Fayçal Baghriche dans le cadre du programme Los Angeles Chez Vous.

English Version.

Dawn Kasper est une artiste de Los Angeles travaillant la performance. Kasper multiplie les médiums, performance, installation, photographie, dessin, collage, et musique. L'artiste bénéficie d'une reconnaissance à l'échelle nationale et internationale et a notamment joué et exposé au Migros Museum für Genenwartskunst (Zurich), au Perry et Marty Granoff Center for Creative Arts, Brown University, Providence (RI), Blum et Poe Gallery, (LA) Leo Koenig Inc, Projekte (NY). Dans le cadre de sa pratique, elle organise des performances, au Human Resources lieu d'art situé dans Chinatown(LA), dont elle est l'un des membres fondateurs. Elle a également proposé et performé une installation de trois mois pour la Bienniel Whitney 2012, Musée d'Art Américain Whiney (NY) et prépare l'ouverture de son exposition personnelle à la galerie Honor Fraser (LA) en Septembre 2013.

The Whitney Museum
Interview Magazine
The New York Times
Spin Magazine
The Los Angeles Times

Emily Joyce

Ann — 2013-04-10T07:31:42Z

Emily Joyce est une artiste américaine qui pratique des peintures géométriques abstraites, des installations murales et des impressions.

Emily est accueillie par Géraldine Gourbe et Fabien Vehlmann dans le cadre de l'exposition Los Angeles Chez Vous. Emily Joyce est accompagnée dans sa résidence par Mains d'Œuvres et plus particulièrement par Margot de Roquefeuil.

English version

Emily Joyce est une artiste qui crée des peintures géométriques abstraites, des installations murales et impressions. Elle a présenté plusieurs expositions aux Etats-Unis et en Europe. Les oeuvres de Joyce sont dans de nombreuses collections publiques, dont celles du Hammer Museum, le Museum of Fine Arts de Houston, et le Museée des beaux-arts de l'Ontario. Cet automne, elle a co-organisé une exposition de groupe, « XYZ », pour le Musée d'Art de Torrance qui questionne comment et pourquoi les artistes contemporains utilisent l'abstraction géométrique afin d'explorer des questions scientifiques et métaphysiques. Ses peintures utilisent le vocabulaire de l'abstraction caractérisé par la présence d'irrégularités subtiles et d'imperfections en usant de points, de lignes, de formes. Elle s'intéresse à la création d'images abstraites avec une réflexion ordonnée logique, mais non rigide.
Emily Joyce a vécu une année à Paris lors de sa résidence au Pavillon, Palais de Tokyo.

Taos News sur Emily Joyce
Art Lies sur Emily Joyce

Emmanuelle Gibello

Agnès Le Foulgoc — 2012-06-01T00:50:00Z

En résidence création numérique
Depuis septembre 2011

Écouter • Live Mal au pixel • 2011

Actualités

• Un artiste à la maison ! Accueillez Emmanuelle gratuitement chez vous pour un concert
• À Parisonic du 11/09 au 23/09 à la Gaîté Lyrique
• Au festival Désert Numérique en juin
• À Tapis vert (Marseille) le 24/06
• Au GRIM (Marseille) le 22/06
• Atelier enfants le 06/06
• À Labomédia - Orléans Fête01 2012 le 13/05
• À Apo33 - Nantes BEYOND SIGNAL #26 le 27/04

Emmanuelle Gibello développe depuis 2001 une pratique qui emprunte à la fois aux arts visuels et à la musique électronique. Très influencée par les nouvelles technologies qu'elle s'approprie en autodidacte, son travail est également nourri de matières littéraires (Didier Anzieu, Samuel Beckett, Philippe K. Dick, Haruki Murakami…). Elle interroge les rapports sons, images, paysages sonores et souvenirs. Son travail de composition et de mixage s'effectue à partir de sons enregistrés dans de multiples contextes, naturels et urbains. Cette collection de bruits issus du quotidien comme de ses voyages lui permet d'explorer et de manipuler, au moyen d'outils électroniques : internet, camera, micros modifiés,… les différentes strates des sons concrets et synthétiques. En enregistrant les nouveaux paysages sonores générés par l'homme, leurs transformations, elle revisite l'espace sonore urbain afin d'éveiller une autre perception de la symphonie complexe du monde contemporain. À l'instar d'une performance, ses pièces sont exécutées en direct et en public par elle-même ou d'autres interprètes. Elle privilégie la diffusion spatialisée en multidiffusion (quadriphonie, octophonie, acousmonium) ou au casque, pour donner une écoute proche de celle du monde réel. Le son est mis en espace. Un son qui vient de côté ou de l'arrière est effrayant, une vague qui déferle sur vous de tous côtés aussi. Elle crée des micro-chaos dans l'écoute, perturbant l'auditeur avec des sons parasites semblant connus mais ne pouvant être entendus dans le monde réel, ils sont signes de « vie ».
On a pu entendre son travail au Japon, en Corée, aux Philippines, en Europe, en Amérique du Nord mais aussi sur l'internet, où elle est active depuis 1999, dans plusieurs projets solo ou collaboratifs tels que nocinema.org, myownspace.fr sobralasolas.org...
Collaborations : Magali Babin, Dominique Blais, Séverine Ballon, Caroline Bouissou, Christophe Charles, Matthieu Clainchard, Yannik Dauby, Mathias Delplanque, DinahBird, Chantal Dumas, Luc Kerléo, Alain Michon, Jérôme Joy, Jocelyn Robert, Diemo Schwarz, Black Sifichi, Björn Eriksson, Kaffe Matthews…

Partition "collision" Launchpad

Je suis l'écho de l'ombre d'une ombre

Installation performative, machines numériques et partitions
« Je suis l'écho de l'ombre d'une ombre » (JSEOO) est un projet ambitieux d'écriture de partitions et de créations d'instruments numériques (Le FONOF, une interface de contrôle utilisant des aimants, et un dé-contrôleur activé par des toupies) inspirée de l'ouvrage sur la Théorie du Chaos de James Gleick, ainsi que des machines à bruits du Futuriste Luigi Russolo, Emmanuelle Gibello imagine de nouveaux instruments et revisite les façons d'écrire, de jouer, de transmettre la musique.

Construction du FONOF - 2011

Avec ce projet, elle cherche à renouer le trio compositeur, interprète, luthier (électronicien/luthier numérique). L'écran de l'ordinateur n'est plus visible et ne guide plus l'interprète. La partition devient le support nécessaire à l'interprétation de la musique.

Pendant cette résidence à Mains d'Œuvres...

À partir de septembre 2011, sa résidence à Mains d'Œuvres sera l'occasion de développer les pions magnétiques du FONOF et la machine chaotique « toupies », fabriquée dans l'esprit d'un outil-œuvre, un objet unique permettant de contrôler tout type d'objets virtuels. Cette dernière interface pourra être autonome ou se fondre dans une multitude de machines lors de performances ou d'installations.

Sur cette base, trois nouvelles pièces seront réalisées :

La réalisation de nouveaux FONOF sera l'occasion de créations en duo avec d'autres artistes, plasticiens (Dominique Blais, Matthieu Clainchard ), amenant Emmanuelle Gibello à renouer avec sa pratique d'artiste visuelle. Dans ce dispositif, un FONOF sera dédié aux sons créant des images mentales et inversement l'autre aux images créant des histoires sonores afin d'amener le spectateur dans un nouvel univers, ou chacun reçoit son propre film.
Un duo violoncelle électrique et machines avec Kasper Toepliz. Ce qui lie ce duo, c'est une envie commune de jouer avec le chaos : deux musiciens, compositeurs se rencontrent avec une même envie de musique performative et visuelle, une même recherche sur l'écriture de partitions pour la musique de machines, avec un axe très important sur le geste musical et son implication dans le rapport spectateur-performeur-musique.
Un solo sur les puces de Saint-Ouen, basé sur une collecte de sons et d'objets pratiquée dans le marché aux puces de la porte de Clignancourt, mais aussi dans les archives sonores et visuels de la ville de Saint-Ouen. Elle donne lieu à une composition, une performance, mais aussi à une installation mettant en scène ces petites d'histoires perdues et réinventées par Emmanuelle. La partition sera écrite pour les FONOF et déconstruite avec la machine chaotique « Toupies ».

Live Kontact Sonores - 2011

En parallèle sera développé un travail de recherche sur l'écriture des partitions, afin d'en définir la nomenclature (Textuel, colorimétrie, gestuel,…)ainsi que la possibilité de mettre en ligne la pièce et ses documents afin de la rendre accessible. Emmanuelle commencera un projet d'édition (livre papier, vinyle et une version en ligne traduite en anglais) réalisé dans le but de retracer le processus de création dans sa globalité tout en posant les bases d'une réflexion sur le trio composition – interprétation - lutherie numérique.

Partition collision FONOF

+ d'infos :

Portfolio

Le FONOF par Maurin Donneaud

http://myownspace.fr/scenophonie
emmanuelle (-à-) scenophonie (-point-) net

Dominique Gilliot

Ann — 2012-03-07T06:35:29Z

Dominique Gilliot fait des performances, raconte des histoires, projette de la neige carbonique, rapporte des détails confondants, mélange in vivo références pop pointues et haute couture intellectuelle. Elle utilise de la vidéo, chante des chansons, et se déplace un peu plus lentement que d'usage. Et puis, parle un peu plus vite que d'usage. Ou peut être le contraire, sur une échelle qui irait de un à dix... Le résultat peut être drôle, tout à trac, d'une confusion touchante, et, tout à la fois, étrangement précis. Il s'agit de pointer, d'un index qui ne tremblerait pas, des éléments, divers et variés, poétiques et volatiles, basiques ou même vernaculaires, d'une manière singulière, un certain « ah, tiens ! ». Il s'agit de performer, et il s'agit de partager un moment.
photo : Rina Frantz

Megan May Daalder

Ann — 2012-02-13T14:15:23Z

Performance / Mirror Box
Megan May Daalder a reçu une bourse de la ville de Los Angeles pour revenir à Mains d'Œuvres et montrer la deuxième version de la Mirror Box dont la première version avait été présentée en mai à l'occasion de Sans vous, rien ne se fera. L'artiste a présenté sa recherche dimanche 26 février en salle Star Trek.
http://www.themirrorbox.info

The Mirrorbox is a year long study in shared identity which had it's European premier at Mains D'Œuvres last year. This art project has officially become a scientific research pilot, and has been prototyped as a practical tool for everyday use. During the residency at Mains D'Œuvres the Mirrorbox will have one day exhibitions in homes in Paris, where people can use it in a variety of contexts.

On the 26th Megan will present the findings of her research thus far in a short autobiographical film which documents the project's development.
She will also offer a SENSORY SALON after the screening with unique experiences and illusions for the audience to try.

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During the month of February, Megan will also begin research on a tool for generating electricity and choreography using pull string dynamos. A first (non-functional) prototype can be seen here http://vimeo.com/32176560.

More work can be seen here

KARL SIMS

http://vimeo.com/10761156

and here
NINOTCHKA

http://vimeo.com/24950420

English texts about the Mirror Box :

Megan Daalder's Mirrorbox has taken the most narcissistic impulse and made it something joyful and benign. Made up of two very simply constructed boxes – black box theaters for one's head, really – the work invites two people, whether lovers or perfect strangers, to enter their prescribed confinement and stare at one another, and simultaneously themselves, for a duration of four somewhat unnerving minutes.
My first experience of Mirrorbox was with Daalder herself, a graduate of UCLA's Design Media Arts Bachelor program. Waiting around before my own performative stint in Chinatown's Perform ! Now ! festival in Los Angeles, I happened upon a small black room (nay, closet) and entered with some trepidation. I was greeted by a smiling young woman who asked if I wanted to try “the Mirrorbox”. Moments later, I found myself inside the piece, staring into a two-way mirror and grinning wildly as Daalder's face pulsed slowly in and out of my own reflection. It was completely unexpected, and my delight was utterly infectious. We fell into brief fits of giggles throughout our conversation about her artistic practice, though I couldn't quite coax Daalder into revealing the technology behind the work. We hugged after emerging from our respective realms ; it felt right after sharing what we agreed was a truly special exchange.
Afterwards, I wondered if I had found the artist so beautiful because she really is, or if I was actually confusing that attraction with being enamored of my own reflection – a very strange dilemma to grapple with. Mirrorbox is a provocative work : it is deeply, uncomfortably about social interaction, intimacy, and above all, the perception of oneself and others, making the delineation between the two difficult to isolate.
Amanda Hunt

Being in the box is a poem, interacting with the box for a night is a short story remember, pop songs are poems too. and they exist in the background to bring people together. that's why they're appropriately always about love and partying. and we hear songs and think of the people we were with when we heard them.
For some reason i keep thinking of your box in terms of music. when people are in there chitchatting, or having fun, it's like a pop song.
Jon Bernad

Dear Megan,
Sorry for the lateness, but I needed to sharpen my Mirror-writing. When writing to the mirror girl write a mirror letter. In the spring I wrote each nights dreams this way, backwards and sinister, which is to say lefty. For a while, lets say the past year, I've been a bit fascinated by identification with the other and the androgyny of all things. You and I I think are particularly androgynous specimens, and it was so easy to immediately see ourselves in each other. Yes we have similar features, both fair Dutch types, but it's so much more isn't it ? What does happen when very different types enter the box. An old asian woman and a young black man ? There is so much potential for breaking down walls, which is also what scare some folks, particularly men, away. Not everyone wants to destroy walls. Many folks love their walls. Walls provide safety. Keeping the darkness out, separating oneself from ones neighbor, offering privacy. Many folks fear the abyss, where divisions disappear and boarders blur. Those of us from the West, which is not most of the world, are raised to fear that side, when really, it's a place of lightness and fun. Even for two men. It's intimacy gives it a feminine tint. I think many men would enjoy the box more with a woman than risk the awkwardness of staring at another man. Maybe it's partially due to the monotheism pervading even secular corners of modern society. I can picture a Mongolian horseman and a hindu beggar man enjoying the box much more than say a saudi business man oil tycoon, and a mexican day labor. The Muslim and the catholic have been instilled with an ego-maniacal male god who would destroy all others who forbids the darkness and declares wicked the feminine. The Hindu has been taught of many gods and goddesses and the Buddhist with none. Women all over the world I think would enjoy more freely the Mirrorbox because the damage done by the instilled god, it is nonetheless an acceptance of the male power within and the wicked feminine power which the men must destroy within themselves, must be accepted in a woman since it is near impossible to destroy them. So women retain both male and female and and an acceptance, albeit reluctantly, of the shadow while men have only the fascist war god, who refuses all others, point being some men may not react so well to your wonderful creation. Yesterday I heard an episode of WNYCs Radiolab particularly relevant to your work. Who am I ? dated 2007.05.08 especially the first 5 minutes. Check I-Tunes. It snowed again here in NYC, hardly leaving the house for the past few weeks I've set up a nice sort of office to write songs and records and drink tea. John Houx

PS I hope you noticed you can read this from the other side rather than holding it to a mirror.

Emily Mast

Ann — 2012-02-13T13:16:05Z

Emily Mast travaille principalement avec les gens, le mouvement et le son et préconiser l'incertitude en tant que matériau sculptural direct. En 2009, elle a présenté une pièce en boucle live "“Everything, Nothing, Something, Always (Walla !)" pour Performa 09 à New York. Elle a récemment remonté "Offending The Audience” de Peter Handke avec sept enfants. Son travail a été vu au MUHKA à Anvers, Samson Projects à Boston, REDCAT, Velaslavasay Panorama Theater, Ressources humaines, Steve Turner Contemporary, Blackbox et 533 à Los Angeles. Elle a été artiste en résidence au Centre Vermont Studio, unitednationsplaza, Skowhegan, Yaddo et des promontoires. L'année dernière, elle a fait partie d'un colloque au Musée d'Art Moderne à New York examinant le rôle du public dans la performance contemporaine.

Son projet à Mains d'Œuvres :

Emily Mast a travaillé en étroite collaboration avec Muguette Guttadauria, une femme âgée vivant à Saint-Ouen et recueille des fragments de mémoire, des histoires inachevées et des anecdotes personnelles liées à la vie idiosyncrasique de Muguette. Les détails accumulés seront juxtaposées pour former un portrait pointilliste de toutes sortes, ou plutôt un paysage composé de diverses textures, des terrains chargés d'émotion. Cette histoire d'une vie éclatée composée uniquement d'extraits subjectifs pousse intentionnellement à des endroits où se chevauchent authenticité et imagination.

Basé sur des entretiens approfondis enregistrés, la performance est comme un hybride entre un monologue théâtral classique, stand-up comédie et une performance. Souvenirs récurrents, auto-réflexifs et commentaires humoristiques sont tous des éléments importants de cette pièce qui est finalement une tentative d'évaluer et même de réécrire son passé au présent tout en regardant vers l'avenir.

"Now it's never or", performance présentée dimanche 26 février à 17h

Voir le site Internet d'Emily : http://emilymast.com/